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Louis
Nait en 1786 à
Saint-Martin-sur-Armançon
Il se marie en 1813 avec Marie-Anne à
Saint-Vinnemer (Yonne)
Saint-Vinnemer vue aérienne
Rue des ponts
L' église
La mairie et l' école
cfq-mtl-nord.over-blog.com
Louis est tout d' abord Charron puis tisserand
Il décède en 1864 à Saint-Vinnemer
Son fils
Pierre Louis nait en 1814
à Saint-Vinnemer
gralon.net
Le canal de Bourgogne
Pierre Louis se marie en 1840 avec Marie Anne
à Saint-Martin-sur-Armançon
Il est également tisserand
Il décède à Saint-Vinnemer en 1878
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Alfred Fernand
Mon arrière Grand-Père
Nait en 1871 à Mézilles (Yonne)
Mézilles
Wikipédia
Eglise Saint-Marien
Alfred Fernand se marie en 1897 avec Berthe
à
Villiers-Saint-Benoit
Vue générale
cheny.net
La Mairie
Rue de la gare
Alfred Fernand est Maçon.
Avec Berthe ils ont cinq enfants
Dont Suzanne Marie.
Suzanne Marie ma Grand-Mère
Nait en 1900
à Villiers-Saint-Benoit
Elle donne naissance à Pierre mon père
en 1921 à Auxerre.
Elle se marie avec Raymond Jules à Auxerre en 1928.
Raymond Jules nait à Escamps (Yonne) en 1903.
Escamps
La Grande Rue
Raymond Jules beau-père de papa, sera pour nous notre Grand-Père et remplacera dans notre coeur, le père de papa que nous ne connaîtrons pas.
Suzanne Marie était concierge à Malakoff.
5 allée Marie-Louise
Raymond Jules décède à Sens en 1978.
Suzanne Marie décède à Sens en 1985
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Pierre Alexandre
Nait en 1901 à Auxerre
Le pont neuf
et décède en 1971 à Saint Clément (89)
Saint-Clément
(89)
L' église
Rue de la Mairie
Un festin à Saint-Clément
A Saint-Clément, une famille (L' homme, la femme et le gamin)
Qui par son avarice brille, dîne souvent chez son cousin.
Afin d' honorer son lignage, Le bon cousin pour ses parents,
en s' inspirant du vieil adage, mets les petits plats dans les grands.
Plus de vingt fois les "pique assiette"
Au cousin dirent gentiment :
Vous en donnerez un coup de fourchette
Un jour donc au village arrive l' excellent parent pour dîner
La cousine dit au convive :
"Je n'voulons point vous faire jeûner :
"vous connaissez not'carractère,
"Avec vous je n'sommes pas regardants,
"Polo va vous prêter son verre ce petit n' a pas la gale aux dents !"
Le couvert mis dans la cuisine
On servit un oeuf sur le plat
Avec un lardon, la cousine
Dit : "c'est un fricot délicat."
" Mangez je n'vous font point l' aumône :
" Fait's comme chez vous n'vous gênez pas
" Tirez du blanc, tirez du jaune :
"Prenez du maigre, prenez du gras "
Lors le gamin dit à sa mère
" J' en voudrais bien d'loeu moi itou.
_ T' en auras répond la commère,
L' cousin ne mangera p'têt pas tout.
Ferme du Popelin
Fontaine d' Azon
La tradition rapporte que Colombe, jeune chrétienne d'origine espagnole, subit le martyre sur le territoire du village le 31 décembre 274 ("à une lieue au nord de Sens") et que son corps y fut abandonné, pour être la proie des bêtes sauvages, au bord de la fontaine d'Azon.
Pierre Alexandre était mon Grand-Père,
je ne l'ai pas connu, Papa non plus du reste.
Papa à été reconnu à sa naissance, Pierre Alexandre nous à transmis ce nom de famille que je porte fièrement ,
et c'est malheureusement tout.
Secret de famille, on ne sait pas ce qu'il a bien pu se passer
avec Suzanne ma Grand-Mère.
Ainsi naquit Pierre mon Père en 1921 à Auxerre.
Portail Saint-Pierre
Pierre Alexandre se marie en 1925 à Auxerre avec Mathilde,
mais il n' aura pas d' autre enfant que Papa !
Pierre et Suzanne
Mes parents se marient
en 1942 à Sens
Mon père était gardien de la paix
et maman lingère repasseuse
Ils auront cinq enfants
Gisèle
Michel
Nicole
Daniel
Jean-Paul
Le petit dernier: c'est moi Paulo !
et
L' histoire continue avec Béatrice nous avons deux garçons
Christophe et Sylvain
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Antoine
Antoine nait en 1750 à Saint-Martin-sur-Armançon
Il se marie en 1779 avec Marie
L' Armançon
Antoine exerce le métier de Charron.
Charron
encyclopédie Diderot
Ce métier existe probablement depuis plus de 4000 ans.
Dès que l'homme a utilisé la roue pour construire des véhicules,
il y a eu des charrons.
Dans le moindre petit village de la France profonde on trouve un charron.
Jusqu'à la dernière guerre, la charrette tirée par les chevaux, voire par les boeufs était encore bien présente dans les campagnes.
charette
centerblog.net
Avec les calèches, les tombereaux et autres véhicules hippomobiles, ainsi que les réparations diverses, le travail était assuré pour un ou plusieurs charrons par village.
Le principal matériau du charron est le bois, mais pas n'importe quel espèce de bois. Durant l'automne, le charron repère les arbres qui seront abattus en hiver, comme il se doit, après les dernières montées de sève.
Les troncs sont ensuite débités en planche et stockés en attendant le séchage. Le charron utilise essentiellement les essences de bois suivantes : Le chêne pour toutes les parties qui exigent une solidité à toute épreuve, l'acacia et le chêne sont utilisés pour la fabrication de la roue (jante et rayons).
Moyeux
Le moyeu, quant à lui, est issu de l'orme, voire de l'orme tortillard (avec beaucoup de noeuds) dont les Charentes étaient de grands producteurs. Pour les autres éléments, moins importants, le sapin, le frêne ou le hêtre étaient utilisés.
source:
http://metiers.free.fr/ac/c003_b.html
Emile Detilleux
Sens (89)
cprama
Saint-Martin-sur-Oreuse (89)
Atelier de Charronnage
Charron Forgeron
Grisy Suisnes Seine & Marne
Antoine décède en 1832
à Saint-Martin-sur-Armançon
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Jean Baptiste
Nait en 1816 à Mezilles
L' église et l' ancien Presbytère
Il se marie en 1838 avec Adélaïde Clémence
Il est Journalier et décède en 1892.
Son fils
Emile Clément
nait à Mezilles en 1843
La Grande-Rue
Il se marie en 1865 avec Julie Joséphine
Il exerce la profession de maçon
Le Maçon
litteratureprimaire.eklablog.com
Maçons et tailleurs de pierreExtrait du livre "Les métiers et leur histoire"paru en 1908Un échafaudage
au début du
XXe siècleEn apparence, ce métier ne s’est pas beaucoup modifié ; et cependant, plus d’un changement s’est produit, grâce à l’introduction de machines ou grâce à des pratiques nouvelles.
On ne voit plus que rarement de nos jours, comme autrefois, des ouvriers placés le long d’une échelle, le dos tourné aux échelons, se passer les briques les uns aux autres depuis le bas jusqu’en haut de la construction ; ce sont aujourd’hui des treuils qui hissent tous les matériaux, qu’on peut entasser en plus grande quantité sur des échafaudages plus solidement construits.
On apporte maintenant à l’édifice en construction les pierres de taille toutes prêtes à être posées à leur place sans hésitations : aussi ne voit-on plus ces chantiers qui empiétaient sur la rue et gênaient la circulation ; nos oreilles ne sont plus torturées par le grincement de la scie des tailleurs de pierre. Le résultat, c’est que l’on construit de notre temps beaucoup plus vite qu’autrefois, et qu’il ne faut plus, pour élever le gros œuvre des formidables maisons parisiennes, que quelques mois au lieu de quelques années.
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