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     Louise

     

    Pour la seconde fois c'est une femme qui perpétue le nom de notre famille

     

    Louise

     

    Nait  à Tonnerre en 1842

    "enfant naturelle reconnue"

     

     

    Tonnerre

     

    7. Louise (1847-1917)

     

    Vue prise des Barres

     

     

    7. Louise (1847-1917)

    A gauche la Tour Notre-Dame (1610), à droite Saint-Pierre (an 1000)

     

    Louise est tout d' abord journalière à Tonnerre

    Puis Couturière à  Chablis

     

     

    Chablis

     

    7. Louise (1847-1917)

     

    Eglise Saint-Pierre

     

    7. Louise (1847-1917)

                                                                      fr.francethisway.com

     

     Maison à colombage

     

    7. Louise (1847-1917)

     

     Place Lafayette et rue Porte Noël

     

     

    7. Louise (1847-1917)

     

    Le Lavoir

     

     

    Louise est couturière

     

     

    7. Louise (1847-1917)

     


    Couturière nom dérivé de couture.

    Celle qui exécute des travaux de couture.

    Couturière en chambre, couturière à façon, une petite couturière de quartier, couturière à la journée, qui travaille à jour fixe chez les clientes. 

     

     

    Couturières en 1875

     

    7. Louise (1847-1917)

                                                                          eden-delire.forumactif.com

     Tableau de Jean-Baptiste Trayer

     

    Louise décède en 1917 à Chablis

    elle a un fils Marcel Jacques

     

    sarcastic

     

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    Marie-Jeanne

    (1771-1831)

     

    Nous n' avons aucun détail sur la vie de Marie-Jeanne hormis le fait qu'elle est née et décédée à Dyé (89).

    C' est Marie-Jeanne qui a perpétué la lignée de notre famille en mettant au monde un enfant naturel, qu' elle prénomme

     

    Jacques

     

    Jacques nait à Dyé en 1811 de père inconnu.

    Il aura une vie assez mouvementée.

    Et sa condition sociale ne cessera pas de régresser.

     

    Il se marie à Adèle à Evry (89) en 1833

     

    Evry

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

                                                                               cprama.com

    La mairie, L' école et L' église

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

    L' ancien château

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

    Le Lavoir

     

    Mais Adèle décède cinq ans plus tard en 1838 .

     

    A cette époque Jacques est Tisserand à Dyé

     

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

     

     

    En 1855 il se remarie avec Louise Eugénie à Tonnerre

    où il sera Manouvrier

     

    Tonnerre

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

    Rue de l' Hôpital

     

    Après avoir été tisserand à Dyé, manouvrier à Tonnerre

    Il devient Marchand de peaux de lapins à Avallon.

     

    Avallon

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

    Vue prise de cousin-Laroche

     

     

    Marchand de peaux de lapin

     

     

    5. Marie-Jeanne (1771-1831) 6. Jacques (1811-1876)

     

     Le lapin faisait vivre toute une armée de chiffonniers, de fendeurs, d’éjarreurs, de secréteurs, de tourneurs, de coupeurs, d’arracheuses, de monteuses, d’éplucheuses, de chiqueteuses, de teinturiers, d’apprêteurs, de couturiers, de lustreurs, sans compter le fabricant de machines, le producteur de colle forte et le commerçant, qui, avec ce petit animal, ont su réaliser des fortunes considérables, tout en répandant autour d’eux le travail et le bien-être qui en est la conséquence.

     

    Article :

    http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article8200

     

     

    Jacques décède à l' Hospice d' Avallon en 1876

    Sur son acte de décès on peut lire :

    "Marchand de peaux de lapins sans domicile fixe"

    erf

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    Brienon-sur-Armançon

     

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    Le Moulin et le Pertuis

     

     

     

    4.

    Edmé

     

    Nait en 1670 à Brienon l' Archevêque.

    Il se marie avec Magdeleine en 1691.

    Comme son père il est Maître Tissier, mais il exerce aussi

    le métier de Meunier

     

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    L' Armançon vers l' ancien Moulin Saint-Martin

     

     

    5.

    François

    Nait en 1700

    Il se marie avec Perette en 1726

    Il est Meunier au Moulin de Brignault

     

    Des moulins existaient sur le pont,

    propriété de l’archevêque. 

    Carte de 1702

    http://www.ville-brienon.fr/pic.htm

     

    François décède en 1754 à Brienon-sur-Armançon

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    Le Moulin du Boutoir

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    Le Moulin de l' Ecluse

     

    6.

    Edmé

    Nait en 1733

    Il se marie en 1754 avec Elisabeth

    Tout comme son père il est Meunier au Moulin de Brignault

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    Le rû du Moulin Neuf

     

    D’autres moulins, tous postérieurs à 1789 ont tourné à Brienon : un sur le ru de Brignault, deux sur le Créanton, un sur le ru de Bord et un sur les sources de Sennevière.

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    Le moulin de Sennevière

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    Le vieux Moulin de Saint-Marc

     

    4. Edmé (1670), 5. François (1750-1754), 6. Edmé (1733-1801) Les Meuniers

    La Halle aux Grains

     

    Le troisième Meunier de la famille

    Edmé décède en 1801

     

     

     

    sarcastic

     

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    Saint-Martin-sur-Armançon

    (89)

     

    C'est de ce petit village du Tonnerrois de 136 habitants,

    qu' est issue la famille de ma Grand-Mère maternelle.

     

    1. Pierre

    nait en 1602

    Il se marie avec Sirette

    et

    Il exerce le métier de laboureur

     

    1. Saint-Martin-sur-Armançon, Pierre (1602)

    Vue générale

     

    1. Saint-Martin-sur-Armançon, Pierre (1602)

    Entrée du village et

    Église Notre-Dame de Saint-Martin-sur-Armançon

     

    1. Saint-Martin-sur-Armançon, Pierre (1602)

     

     

    Le lavoir

    1. Saint-Martin-sur-Armançon, Pierre (1602)

                                                            lavoirs.org

     

    2. François

     fils de Pierre sera également Laboureur

     François  se marie à Anne (1648-1717)

     

    3. Louis

    Petit fils de Pierre, nait à Saint-Martin-sur-Armançon

    en 1678,  en 1705 il épouse Barbe (1676-1754).

    Il est également laboureur.

     

    1. Saint-Martin-sur-Armançon, Pierre (1602-1691),2.François,3.Louis(1678)

                                                                    michaux-botaniste.blogspot.com

     

    Charrues et autres instruments de culture en France au XVIIIe siècle 

    (Planche de l'Encyclopédie Diderot)

     

    Pierre

     

     Décède en 1691 à Saint-Martin-sur-Armançon

    à l' âge de 89 ans

     

     

    yes

     

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    Mézilles

    (89)

    Origines de ma grand-Mère paternelle

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

    http://www.villagesdefrance.fr/dept/page89_puisayeforterre.htm

     

    La commune est située en Puisaye dans le département de l' Yonne  (Bourgogne)

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

    Mézilles route de Toucy

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

    La grande rue

     

    Claude  est né en 1759 à Mézilles Yonne,

    fils de Jean Batisse et de Jeanne .

     

     

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

    Le vieux pont

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

     

    Eglise Saint-Marien

    XV et XVI ème siècle

     

    Claude se marie avec Magdeleine

    en Mai 1789 à Vincelles (89)

     

    1. Mézilles (1759-1827) Claude Batisse

                                                     

    Vincelles le Pont du Canal

     

     

    Claude exerce la profession de Scieur de long

    à Cravant Yonne.

     

    Cravant

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

    Entrée du Pays

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

    La Porte

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

     

    Cravant Le Donjon et le Lavoir

     

     

     

    Scieur de long

    Sédentaire ou Itinérant
    Au temps où les planches se nomment des ais, les scieurs de long sont des soyeurs d’ais. La technique est déjà pratiquée sous l’Antiquité romaine. Elle traverse les siècles jusqu’au début du XXème siècle. Les scieurs de long ont des origines et des modes de vie diverses.
    - Les sédentaires travaillent à proximité de leur domicile, pour la journée, parfois pour la semaine. Les hommes exercent ce métier de génération en génération et la main-d’œuvre locale est suffisante.
    - Les itinérants, souvent parents, vont dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour de leur village, à l’intérieur de l’arrondissement. Sur leur passage, on les reconnaît avec leur besace sur l’épaule et leur outillage. Ils travaillent à façon chez les particuliers, les petits artisans et les fermiers : une pile de rondins, bien entassés dans un coin de la cour les attend. Hommes connus et reconnus, on leur offre le gîte et le couvert. Une fois leur travail achevé, ils s’en vont frapper à une autre porte, toujours à pied. Généralement, ils sont scieurs à la mauvaise saison et paysans lors des beaux jours.
    - Les ambulants parcourent inlassablement les campagnes à la recherche d’une opportunité. Sans attache familiale ni résidence fixe, ils espèrent être nourris, hébergés ou mieux recevoir quelques pièces.
    - Les immigrants, chassés de leur pays pour des raisons économiques ou politiques, et les migrants ou émigrants, essentiellement du Massif central, s’ajoutent aux gens du pays, vidant des communes entières.
    Tous ces hommes vont à la scie par nécessité et non par goût du voyage. Le climat, avec des hivers neigeux et sans fin, contraint ces paysans montagnards à une trop longue période d’inactivité.

    Texte extrait de

    http://www.genealogie.com/v2/genealogie-en-ligne/ancien-metier.asp?id_metier=120

     

     

    1. Mézilles (1759) Claude Batisse

     

    http://www.roelly.org/~fleur/auvergne/scieurs.htm

     

    Claude décède à Mézilles en 1827

     

    biggrin

     

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