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Par Paulo8938 le 7 Décembre 2014 à 08:40
Camille Maximilien
Mon arrière Grand-Père
nait en 1870 à Saint-Vinnemer Yonne,
il s' y marie en 1894 avec Augustine.
Saint-Vinnemer
voir ou revoir :
http://leblogdepaulo.eklablog.com/st-vinnemer-89-a81589864
le canal de Bourgogne
Camille Maximilien est Agriculteur et Apiculteur.
Les Apiculteurs
Pieter Brueghel
(1568/1569)
un site très intéressant:
http://www.encyclopedie-universelle.com/abeille1/abeille-histoire-hommes-civilisations13.html
Je n' ai pas connu mon arrière Grand-Père Camille Maximilien, car il décède en 1956 à Sens Yonne,la veille de mes huit mois.
Mon arrière Grand-Mère
Augustine
nait à Sens en 1867 elle exerce le métier
d' institutrice
http://www.histoire-en-questions.fr/metiers/institutrice.html
Augustine décède à Sens en 1953.
Camille et Augustine ont eu deux filles,
Andrée ma Grande Tante née en 1895
et
Renée Louise ma Grand Mère née en 1900
Toutes les deux nées à Gigny (89)
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Par Paulo8938 le 6 Décembre 2014 à 08:41
Alexandre Arthur
mon arrière arrière Grand-Père
Nait en 1844 à Saint-Vinnemer
St-Vinnemer
(89)
La scierie
Il se marie en 1866 avec Reine Alexandrine à Molosmes (Yonne)
Molosmes
Vue Générale
Alexandre Arthur est menuisier
Le menuisier
Établi et outils de menuisier.
Dessin PatrickTaëron - Archives Larousse
Saint-Joseph
charpentier
Georges de La Tour
musée du Louvre
Atelier de menuiserie
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Par Paulo8938 le 3 Décembre 2014 à 08:44
Louis
Nait en 1786 à
Saint-Martin-sur-Armançon
Il se marie en 1813 avec Marie-Anne à
Saint-Vinnemer (Yonne)
Saint-Vinnemer vue aérienne
Rue des ponts
L' église
La mairie et l' école
cfq-mtl-nord.over-blog.com
Louis est tout d' abord Charron puis tisserand
Il décède en 1864 à Saint-Vinnemer
Son fils
Pierre Louis nait en 1814
à Saint-Vinnemer
gralon.net
Le canal de Bourgogne
Pierre Louis se marie en 1840 avec Marie Anne
à Saint-Martin-sur-Armançon
Il est également tisserand
Il décède à Saint-Vinnemer en 1878
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Par Paulo8938 le 29 Novembre 2014 à 08:15
Antoine
Antoine nait en 1750 à Saint-Martin-sur-Armançon
Il se marie en 1779 avec Marie
L' Armançon
Antoine exerce le métier de Charron.
Charron
encyclopédie Diderot
Ce métier existe probablement depuis plus de 4000 ans.
Dès que l'homme a utilisé la roue pour construire des véhicules,
il y a eu des charrons.
Dans le moindre petit village de la France profonde on trouve un charron.
Jusqu'à la dernière guerre, la charrette tirée par les chevaux, voire par les boeufs était encore bien présente dans les campagnes.
charette
centerblog.net
Avec les calèches, les tombereaux et autres véhicules hippomobiles, ainsi que les réparations diverses, le travail était assuré pour un ou plusieurs charrons par village.
Le principal matériau du charron est le bois, mais pas n'importe quel espèce de bois. Durant l'automne, le charron repère les arbres qui seront abattus en hiver, comme il se doit, après les dernières montées de sève.
Les troncs sont ensuite débités en planche et stockés en attendant le séchage. Le charron utilise essentiellement les essences de bois suivantes : Le chêne pour toutes les parties qui exigent une solidité à toute épreuve, l'acacia et le chêne sont utilisés pour la fabrication de la roue (jante et rayons).
Moyeux
Le moyeu, quant à lui, est issu de l'orme, voire de l'orme tortillard (avec beaucoup de noeuds) dont les Charentes étaient de grands producteurs. Pour les autres éléments, moins importants, le sapin, le frêne ou le hêtre étaient utilisés.
source:
http://metiers.free.fr/ac/c003_b.html
Emile Detilleux
Sens (89)
cprama
Saint-Martin-sur-Oreuse (89)
Atelier de Charronnage
Charron Forgeron
Grisy Suisnes Seine & Marne
Antoine décède en 1832
à Saint-Martin-sur-Armançon
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Par Paulo8938 le 19 Novembre 2014 à 09:07
François
Nait en 1716 à Saint-Martin-sur-Armançon
Il se marie en 1743 à Molosmes avec Anne
Molosmes
(89)
http://leblogdepaulo.eklablog.com/molosmes-yonne-a107900080
François exerce le métier de Recteur d' école.
Recteur d' école
c' était un enseignant ayant passé un contrat avec les habitants d’un village.
Le maître d'école
Charlet, 1830.
le-temps-des-instituteurs.fr
Vers la fin du XVII ème siècle, la majorité des écoles de garçons étaient tenues par les vicaires ou par les curés.
Au début du XVIII ème siècle, la diminution progressive du nombre des écclésiastiques, obligeait les paroissiens et les curés à recourir à des clercs ou maîtres laïques.
Ils étaient nommés par la communauté d' habitant (assemblée à l' issue des offices religieux) et étaient liés par un contrat civil indiquant la durée d' engagement et la période scolaire.
Certaines localités possédaient des écoles fondées par des particuliers.
Parfois on se passait d' instruction quand l' instituteur coûtait trop cher, et que le curé ne pouvait exercer en plus de ses fonctions cultuelles celles de maître d' école.
Le premier venu pourvu qu'il sût lire, écrire et compter, et qu' il fût de bonnes moeurs pouvait obtenir l' autorisation de tenir les petites écoles. Les maîtres étaient peu instruits et leur discipline était dure et parfois brutale.
Le maître d' école
Léopold Chibourg
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