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Par Paulo8938 le 2 Décembre 2014 à 09:53
Alfred Fernand
Mon arrière Grand-Père
Nait en 1871 à Mézilles (Yonne)
Mézilles
Wikipédia
Eglise Saint-Marien
Alfred Fernand se marie en 1897 avec Berthe
à
Villiers-Saint-Benoit
Vue générale
cheny.net
La Mairie
Rue de la gare
Alfred Fernand est Maçon.
Avec Berthe ils ont cinq enfants
Dont Suzanne Marie.
Suzanne Marie ma Grand-Mère
Nait en 1900
à Villiers-Saint-Benoit
Elle donne naissance à Pierre mon père
en 1921 à Auxerre.
Elle se marie avec Raymond Jules à Auxerre en 1928.
Raymond Jules nait à Escamps (Yonne) en 1903.
Escamps
La Grande Rue
Raymond Jules beau-père de papa, sera pour nous notre Grand-Père et remplacera dans notre coeur, le père de papa que nous ne connaîtrons pas.
Suzanne Marie était concierge à Malakoff.
5 allée Marie-Louise
Raymond Jules décède à Sens en 1978.
Suzanne Marie décède à Sens en 1985
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Par Paulo8938 le 27 Novembre 2014 à 13:46
Jean Baptiste
Nait en 1816 à Mezilles
L' église et l' ancien Presbytère
Il se marie en 1838 avec Adélaïde Clémence
Il est Journalier et décède en 1892.
Son fils
Emile Clément
nait à Mezilles en 1843
La Grande-Rue
Il se marie en 1865 avec Julie Joséphine
Il exerce la profession de maçon
Le Maçon
litteratureprimaire.eklablog.com
Maçons et tailleurs de pierreExtrait du livre "Les métiers et leur histoire"paru en 1908Un échafaudage
au début du
XXe siècleEn apparence, ce métier ne s’est pas beaucoup modifié ; et cependant, plus d’un changement s’est produit, grâce à l’introduction de machines ou grâce à des pratiques nouvelles.
On ne voit plus que rarement de nos jours, comme autrefois, des ouvriers placés le long d’une échelle, le dos tourné aux échelons, se passer les briques les uns aux autres depuis le bas jusqu’en haut de la construction ; ce sont aujourd’hui des treuils qui hissent tous les matériaux, qu’on peut entasser en plus grande quantité sur des échafaudages plus solidement construits.
On apporte maintenant à l’édifice en construction les pierres de taille toutes prêtes à être posées à leur place sans hésitations : aussi ne voit-on plus ces chantiers qui empiétaient sur la rue et gênaient la circulation ; nos oreilles ne sont plus torturées par le grincement de la scie des tailleurs de pierre. Le résultat, c’est que l’on construit de notre temps beaucoup plus vite qu’autrefois, et qu’il ne faut plus, pour élever le gros œuvre des formidables maisons parisiennes, que quelques mois au lieu de quelques années.
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Par Paulo8938 le 20 Novembre 2014 à 14:57
Nicolas
Nait à Vincelles en 1793
Vincelles
(89)
La grande rue
L' église XIV ème
Ecluse et bord de l' Yonne
Le château
Nicolas se marie avec Germaine Constance
en 1813 à Mézilles.
Il exerce le métier de vigneron
Vigneron
vdrfrance.com
boiteaoutil.blogzoom.fr
Nicolas décède en 1867 à Mézilles
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Par Paulo8938 le 15 Novembre 2014 à 10:20
Mézilles
(89)
Origines de ma grand-Mère paternelle
http://www.villagesdefrance.fr/dept/page89_puisayeforterre.htm
La commune est située en Puisaye dans le département de l' Yonne (Bourgogne)
Mézilles route de Toucy
La grande rue
Claude est né en 1759 à Mézilles Yonne,
fils de Jean Batisse et de Jeanne .
Le vieux pont
Eglise Saint-Marien
XV et XVI ème siècle
Claude se marie avec Magdeleine
en Mai 1789 à Vincelles (89)
Vincelles le Pont du Canal
Claude exerce la profession de Scieur de long
à Cravant Yonne.
Cravant
Entrée du Pays
La Porte
Cravant Le Donjon et le Lavoir
Scieur de long
Sédentaire ou Itinérant
Au temps où les planches se nomment des ais, les scieurs de long sont des soyeurs d’ais. La technique est déjà pratiquée sous l’Antiquité romaine. Elle traverse les siècles jusqu’au début du XXème siècle. Les scieurs de long ont des origines et des modes de vie diverses.
- Les sédentaires travaillent à proximité de leur domicile, pour la journée, parfois pour la semaine. Les hommes exercent ce métier de génération en génération et la main-d’œuvre locale est suffisante.
- Les itinérants, souvent parents, vont dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour de leur village, à l’intérieur de l’arrondissement. Sur leur passage, on les reconnaît avec leur besace sur l’épaule et leur outillage. Ils travaillent à façon chez les particuliers, les petits artisans et les fermiers : une pile de rondins, bien entassés dans un coin de la cour les attend. Hommes connus et reconnus, on leur offre le gîte et le couvert. Une fois leur travail achevé, ils s’en vont frapper à une autre porte, toujours à pied. Généralement, ils sont scieurs à la mauvaise saison et paysans lors des beaux jours.
- Les ambulants parcourent inlassablement les campagnes à la recherche d’une opportunité. Sans attache familiale ni résidence fixe, ils espèrent être nourris, hébergés ou mieux recevoir quelques pièces.
- Les immigrants, chassés de leur pays pour des raisons économiques ou politiques, et les migrants ou émigrants, essentiellement du Massif central, s’ajoutent aux gens du pays, vidant des communes entières.
Tous ces hommes vont à la scie par nécessité et non par goût du voyage. Le climat, avec des hivers neigeux et sans fin, contraint ces paysans montagnards à une trop longue période d’inactivité.Texte extrait de
http://www.genealogie.com/v2/genealogie-en-ligne/ancien-metier.asp?id_metier=120
http://www.roelly.org/~fleur/auvergne/scieurs.htm
Claude décède à Mézilles en 1827
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